RETOUR AU CATALOGUE

La Machine

« Les Couleurs »
CD Digipack. Livret 8 pages.

Liste des plages
1 - Je t’apprendrai / Les tulipiers (bourrée à 3 temps)
2 - Les couleurs (ronde)
3 - Aimer n’est pas un crime
4 - Haut les cœurs (scottish)
5 - L’Ombre verte (bourrée à 2 temps)
6 - Le Français et l’Allemande / Main pleine (mazurka)
7 - Mazurka des Grands-Mères (mazurka créole)
8 - Où allez-vous la belle ?
9 - Le mandragou / Rougail (rondeau / cercle)
10 - L’alouette et le merlot
11 - Tes histoires / Les cartes (valses à 5 temps)
12 - Le flambeau d'Amour / La belle Isabeau (bourrées à 3 temps)
13 - Vive la jeunesse (ronde)
14 - Passons par la route (mazurka)
Ref. AEPEM 11/03

Julien Barbances : chant, cornemuse 20 pouces, violon.
Grégory Jolivet : vielle alto, vielle en ré.
Jean-Laurent Cayzac : contrebasse, guitare.
Marc Riou : percussions.

CD Digipack. Livret 8 pages, indication des paroles, indication des sources.
Traditionnel : Nivernais, Morvan, Berry, Limousin. (9 titres)
Compositions : Julien Barbances, Grégory Jolivet, Marc Riou (10 titres).
EPUISÉ, se renseigner auprès du groupe.

Durée 53'13

« Un troisième album somptueux »


Site internet http://www.myspace.com/lamachinegang


Revue de presse et témoignages
Un très grand album (bravos Trad Mag)
La Machine ? On ne présente plus ce groupe devenu en une petite dizaine d’années l’un des incontournables du paysage des musiques traditionnelles, tant par l’originalité des arrangements vocaux et instrumentaux réalisés, que par la qualité des compositions, par l’extrême respect des sources, la justesse des tempi pour la danse, ainsi que pour les musiciens talentueux qui le composent : J. Barbances (chant cornemuse, violon), G. Jolivet (vielles, chœurs), J.-L. Cayzac (contrebasse, guitare, violoncelle, chœurs) et M. Riou (percussions, chœurs). Après un premier album, “Les rôdeurs” (2005), qui avait fait sensation par sa nouveauté et un second dans la lignée, c’est aujourd’hui un troisième opus qu’ils nous offrent : un grand album “addictif”, comprenant pour moitié environ des danses (bourrées à 2 et 3 tps, scottishs, mazurkas, valses, rondeau…) composées pour la plupart par les membres du groupe, et pour le reste de très belles ballades magnifiquement chantées par Julien Barbances. Chaque titre est en soi un petit bijou. Citons quelques-unes de ces perles : Je t’apprendrai/Les tulipiers, suite de bourrées à 3 temps qui ouvre l’album en fanfare au son de la guitare électrique ; Aimer n’est pas un crime, superbe mélodie ; L’ombre verte, bourrée à 2 temps dans laquelle la contrebasse se joue les guembri ; la superbe reprise “créolisée” de la fameuse Mazurka de Lapleau ; Vive la jeunesse, cette très belle ronde (d’actualité) à la gloire de l’amour… Ou encore Où allez-vous la belle, célèbre chanson plus connue sous le titre Le garçon jardinier, popularisée par Malicorne, dans laquelle les pizzicatti du violon jouent la kora sur un arrangement absolument somptueux. Un très grand album.
François Saddi, Trad Magazine, novembre-décembre 2011.

La Machine n’est pas prête de s’essouffler
Lorsqu’une alchimie musicale fonctionne parfaitement entre quatre musiciens et, tout aussi bien avec le public, il serait vraiment dommage de chercher à en sortir uniquement parce que la mode est au changement à tout prix et qu’il est de bon ton qu’un album soit un style différent du précédent. Et puis vu l’ampleur du répertoire qu’ils savent si bien revisiter, La Machine n’est pas prêts de s’essouffler. C’est donc avec plaisir que l’on retrouve Julien Barbances et ses cornemuses, Gregory Jolivet à la vielle, Jean-Laurent Cayzac à la contrebasse et Marc Riou aux percussions sur ce troisième opus. Soit vous connaissez les premiers albums et je me contenterai de vous indiquer que celui-ci demeure dans la même veine, soit vous les avez entendu le dernier soir en bal au Château d’Ars et là il faut tout de même que je vous précise que le son du groupe, en particulier du côté des percussions, est bien plus fin que ce que l’on a pu entendre ce soir là avec des basses bien trop envahissantes. Et puis, pour la petite histoire, lorsque l’on entend Julien chanter : « C’était un jeune français avec une allemande Ils ont joué ensemble ils ont joué tous deux Ils ont joué ensemble au jeu des amoureux » On ne peut s’empêcher de vérifier qu’il s’agit bien d’un traditionnel morvandiaux et non d’une composition personnelle…. (1) (1) si vous ne comprenez pas consultez le carnet blanc de la Frat…. Jean-Luc Matte, http://musette.free.fr/infos.htm, octobre 2011.

Un univers sonore caractéristique
Pendant quelques secondes on se serait cru sur un train américain lançant un improbable rock'n'roll... mais non, la cornemuse apparaît vite pour une site de bourrées, en conservant ce fond rythmique particulier. Vient ensuite une chanson transformée en ronde, c'est la plage titulaire où l'on reconnaît le chant inimitable de Julien Barbances, avec toujours cette manière de prendre de la distance, un peu comme s'il projetait un film... Remarquables percussions aussi, qu'on note déjà dans la scottish « Haut les coeurs » et qui se déchaînent avec la complicité de la vielle pour la mazurka de Lapleau mise sur un rythme créole. Plusieurs belles chansons traditionnelles cohabitent ainsi avec diverses danses dans l'univers sonore caractéristique produit par Julien Barbances (chanty, cornemuse, violon), Grégory Jolivet (vielles, choeur), Jean-Laurent Cayzac (contrebasse, guitare, violoncelle, choeur) et Marc Riou (percussions, choeur). Le Canard Folk, septembre 2011.